jeudi 11 février 2021

Chevalier !

Mesdames, Messieurs,

je suis heureux de vous faire part de ma nomination, 
tout à fait inattendue, au grade de Chevalier de l'Ordre 
des Arts et des Lettres.

Vous trouverez ci-dessous copie du diplôme que 
la Ministre de la Culture m'a adressé il y a quelques jours.

Je ne vous cache pas que cette reconnaissance 
institutionnelle, que je n'ai pas recherchée 
et que je n'espérais pas, est un encouragement puissant 
à ne pas céder au découragement vertigineux qui m'a saisi 
bien des fois ces derniers mois.

J'en profite pour vous remercier d'avoir, d'une manière 
ou d'une autre, manifesté de l'intérêt à ce travail solitaire 
entrepris il y a maintenant quatorze années.

J'espère avoir l'immense plaisir de retrouver bientôt 
le chemin des salons qui m'honorent de leur accueil... 
et peut-être aussi celui d'un théâtre, si toutefois 
les responsables de ces établissements culturels 
daignent enfin s'apercevoir de mon existence.

William della Rocca






dimanche 1 novembre 2020

Mon projet

 

C'est au printemps 2006 que j'ai lu pour la première fois les Confessions de Jean-Jacques Rousseau et que j'ai formé le projet de les porter à la scène.

J’ai voulu que chacun des douze livres qui composent cet ouvrage fasse l’objet d’un spectacle, et c’est le 8 février 2007 que j’ai créé le premier. 

De 2007 à 2012, au rythme de deux spectacles par an, j’ai construit un feuilleton théâtral en douze « épisodes » qui mis bout-à-bout forment un spectacle d’une durée totale d’environ vingt-quatre heures.

La forme que j’ai choisie est simple, modeste, et le ton, celui de la confidence. Le plus approprié, me semble-t-il, à traduire l’intimité que l’auteur veut créer avec son lecteur.

Il me paraît important de préciser qu’il ne s’agit nullement d’une «lecture» mais bien d’un texte incarné et interprété, comme si Jean-Jacques revenait aujourd’hui nous raconter sa vie.

J’ai voulu, de plus, que ce spectacle puisse être représenté partout, à la condition toutefois qu’il y règne le silence qui est nécessaire à une telle entreprise.

Mes accessoires sont un cahier, un lutrin et une chaise.

Pour donner à chaque représentation une durée raisonnable (deux heures maximum), des coupures ont été effectuées dans le texte original de chacun des douze livres, mais sans que cela nuise à la cohérence du propos.

Ce spectacle a initialement été conçu pour un auditoire relativement restreint. S’il vient à être représenté dans un lieu où le nombre de spectateurs est important, il devra alors être absolument sonorisé.

William della Rocca


Si vous souhaitez accueillir ce spectacle chez vous, ou dans tout lieu qui vous semble approprié, les conditions de représentation et de vente vous seront adressées sur simple demande.

Pour plus de détails, nous contacter en écrivant à 
wdellarocca@yahoo.fr


Quant au blog qui présente mon autre projet au long cours consacré à l'adaptation sur scène des célèbres Mémoires de M. le duc de Saint-Simon, en voici l'adresse :

lundi 27 janvier 2020

Article dans LA CROIX du lundi 27 janvier 2020



Un magnifique portait signé Jean-Claude Raspiengeas a paru dans le journal LA CROIX ce lundi 27 janvier 2020.

J'en suis honoré et ému.

Je remercie chaleureusement son auteur ainsi que mes hôtes, à Paris et en province, et toutes celles et tous ceux qui me gratifient de leur fidélité depuis treize ans.

dimanche 13 mai 2018

Guides Paris & Compagnie des éditions Parigramme


Les toujours élégantes éditions Parigramme me font la grande joie de mettre mon travail à l'honneur dans deux très beaux guides de leur riche et superbe collection "Paris & Compagnie". 

Je les en remercie très chaleureusement et, plus particulièrement, leurs deux auteurs : Sophie Herber et Sophie Lemp.

Ces deux guides sont disponibles dans toutes les bonnes librairies ou sur le site de l'éditeur parisien :



mercredi 8 février 2017

10 années avec Jean-Jacques



C'était il y a dix ans, jour pour jour. Jean-Jacques apparaissait pour la première fois sur la scène du regretté petit théâtre du 175, rue Saint-Honoré à Paris, et une aventure inédite et déraisonnable commençait sous les yeux d'une vingtaine de personnes que je ne remercierai jamais assez de leur accueil enthousiaste. L'une d'entre elles mérite - ô combien - que je la remercie un peu plus encore. Il s'agit de ma chère Agnès, qui a rendu tout cela possible, et qui, de plus, est l'auteur de cette émouvante petite photo datée du 10 février 2007. 



lundi 16 mai 2016

15 mai 2006


C'était il y a dix ans. J'allais, le 15 mai 2006, dans ce cinéma de la rue Monsieur le Prince à Paris, rencontrer l'homme mort depuis deux siècles qui allait mettre ma vie sens dessus dessous

mercredi 23 décembre 2015

Un superbe cadeau pour finir cette année 2015


Cette année, pour moi, le Père Noël s'appelle Philippe Meyer !