mercredi 3 décembre 2008

Les spectateurs ont la parole


A la fin de cette année, Jean-Jacques comptera soixante-quatre représentations.

Si vous faites partie des personnes ayant assisté à l'une, ou plusieurs, d'entre elles, et que vous souhaitez laisser un commentaire sur ce spectacle, vous pouvez le faire ici-même.

Ce commentaire sera ensuite publié sur ce blog.

Merci à vous.


En voici déjà trois, et j'en remercie leurs auteurs :


William Della Rocca devient devant nos yeux ébahis Jean-Jacques Rousseau en personne. Cet artiste inspiré a su rendre actuel et intense un propos à priori désuet et dire d'une voix à la fois douce et forte des confessions qui deviennent confidences.
Wagner disait que "la musique commence là où le pouvoir des mots s'arrête", mais avec William Della Rocca, le pouvoir des mots n'a pas de limites.

Corinne Baylac


Cher William, que ce projet immense me ravit et me remplit de joie ! Tu es un grand comédien et un grand artiste. Je suis bien sûr impatient d'assister à la suite des Confessions au P'tit Saint-Hono, un rendez-vous que j'attends toujours avec un plaisir immense, et j'espère vraiment qu'un jour, le public privé du théâtre en appartement pourra aller t'applaudir sur une grande scène de théâtre.
Rencontrer Rousseau, que je ne connaissais pas, à travers toi, me grandit et me fait me rencontrer ! Tu me donnes envie de le lire. Bonne route à monsieur Della Rocca jusqu'en 2012 avec Rousseau et encore plus loin dans le temps d'autres personnages à créer.

Sylvain Savard


Après la soirée de dimanche et en hommage à votre prestation, William della Rocca, bonjour.
J'étais l'autre soir, non au Théâtre français, mais dans un salon français du XXI° siècle...
L'auteur y avait un certain succès... c'était Rousseau !
Rousseau ou della Rocca ? On pourrait se poser la question après avoir lu - soigneusement - votre programme.
5 ans (sans compter la préparation) en compagnie du grand homme... à en manger, en respirer, (ou transpirer... ?? ... j'oserais même aller plus loin si je vous connaissais depuis plus longtemps), c'est une course de fond ! une épreuve olympique, en quelque sorte...
En tant que collègue (comédienne et lectrice) j'admire, en plus de la performance ponctuelle, celle de la durée.
Tenir... cela n'a rien à voir avec le talent. Cela relève d'une autre veine.. mais toujours matière précieuse. Rare aujourd'hui et je tenais à vous remercier de nous en faire partager le bénéfice.
Je vous souhaite de continuer sur votre lancée, toujours avec la même rigueur et le même succès.
Cordialement.

Christiane Moinet

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